l’ècole Lansar se trouve dans le quartier de Lansar , c’est une école aussi qui fait appel à un projet environnemental.
Si vous rentrez dans l’école, la première chose que vous remarquez, c’est l’environnement de l’école. C’est un environnement qui attire, qui est attrayant.
Puisque, comme je l’ai dit ailleurs, quand l’environnement de l’école est attrayant, les élèves, les apprenants ont envie d’y rester et d’y revenir à chaque fois.
C’est pour cela que nous veillons vraiment à la propreté et à l’environnement de l’école.
Alors, l’école fait de très bons résultats, malgré ses manquements.
Puisque moi, je suis à ma troisième année, mais j’ai trouvé des résultats très satisfaisants à l’école.Il était de mon devoir de maintenir le cap et de faire plus.
Depuis deux ans, en tout cas, l’école est en tête du classement des résultats au niveau de l’IF de Pékin, au niveau de l’académie de Pékin-Guèdiawaye et même au niveau national.
Donc ça, c’est grâce au dynamisme des enseignants qui y sont, qui sont chevronnés et qui savent ce qui les attend.
Puisque une école, c’est les résultats, si les résultats suivent, l’école est citée un peu partout.
Mais quand les résultats ne suivent pas, les parents ne sont pas contents. C’est pour cela que nous insistons trop, sur la performance des résultats.
Avant que l’école ne s’appelle l’école Lamsar, elle s’appelait l’école Pékin-6.
En ce moment, elle faisait partie du département de Guèdiawaye;
c’est en 2010, après le découpage, que l’école 6 est renversée dans le département de Pékin pour porter l’honneur de Lamsar, l’honneur du quartier.
Il y avait deux écoles élémentaires, Lamsar A et Lamsar B ,mais c’est après que l’école Lamsar a été transformée en collège.
Il restait plus que l’école Lamsar A comme école , les infrastructures sont vertueuses, mais aussi l’aspect sécuritaire pose problème et aussi l’aspect sanitaire.
Il y a certains bâtiments qui datent de 1960, ça fait déjà 65 ans , vous voyez 65 ans, ce n’est pas 65 jours.
Il y a deux ans en arrière, heureusement que c’était en pleine vacances, le toit d’une classe a cédé. Si c’était pendant l’année scolaire, ce serait vraiment une catastrophe extraordinaire.
Nous demandons vraiment que l’État nous vienne en aide pour refaire ces bâtiments-là.
La municipalité aussi, c’est elle qui paie l’électricité, c’est elle qui paie l’eau, c’est elle qui paie le gardien
Mais ces moyens sont limités aussi, Il y a donc l’État central qui peut construire des classes á t-il dèclarè le principal Mamadou Sow à l’èmission parlons Èducation.
