Dans une déclaration forte, il a expliqué que ce mouvement est né « du soulèvement des consciences », mais aussi « de la fatigue d’attendre, du refus de courber l’échine ». Il le décrit comme un projet d’union, d’espoir, de dignité et de justice, qui se veut un appel à la mobilisation de toutes les forces citoyennes désireuses de bâtir un Sénégal plus équitable.
Barthélémy Dias précise qu’il ne cherche pas à jouer les sauveurs, mais à « guider et bâtir avec les Sénégalais », insistant sur l’importance d’un engagement collectif :
« Ce pays n’a pas besoin de sauveur, il a besoin de ses enfants. »
Il s’adresse particulièrement aux jeunes et aux citoyens épris de liberté et de justice :
« Des enfants debout, des enfants libres, des enfants fiers, mais surtout des enfants justes, qui refusent que la justice recule quand le pouvoir avance. »
Avec ce mouvement, Barthélémy Dias prend ses distances avec Khalifa Sall et trace sa propre voie politique, fondée sur la fraternité, l’objectivité et la dignité. Il conclut en affirmant ne pas avoir de certitudes, mais une conviction profonde : le Sénégal peut et doit changer, par et pour ses enfants.