Les porteurs d’engagement au sein de l’administration de l’État, pour pouvoir faire l’état des lieux sur l’avancement de la mise en œuvre de ces engagements.
Dans les cadres du deuxième plan d’action nationale 2024-2025 ,ces cadres d’échanges nous donneront l’opportunité effectivement de voir où nous en sommes, d’identifier les défis par rapport à cette mise en œuvre, et aussi de proposer les solutions nécessaires pour pouvoir améliorer notre performance.
Comme vous le savez, depuis son adhésion au partenariat pour le gouvernement ouvert, le Sénégal a d’abord élaboré un premier plan d’action national, qui a couru de la période de 2021 à 2023, a fait l’objet d’une évaluation, et c’est là que les leçons apprises ont permis d’élaborer ce deuxième plan d’action nationale.
À six mois de la fin, il est important que les acteurs trouvent cet espace pour pouvoir discuter de comment ils sont en train d’avancer, pour ne pas être surpris à la fin, au mois de décembre, de constater que nous avons trop fait, ou nous n’avons pas fait assez.
Les discussions à ce moment-ci permet de prendre les mesures nécessaires pour adresser les défis rencontrés, mais également pour mieux capitaliser les leçons apprises dans les cadres de performances accomplies.
Nous les faisons de façon paritaire à l’administration publique, société civile, comme vous pouvez le voir à travers cette représentation, et nous espérons que cette journée sera pleine de moissons, en termes d’idées, de réflexions pour nous projeter sur comment faire réussir les six mois qui nous restent.
L’année passée, le ministre, par exemple, a institué le comité national paritaire, c’est en juillet 2024, si je ne me trompe, par un arrêté,(3:32) signe que l’État est très engagé à ce processus.
L’État s’acquitte assez régulièrement des contributions volontaires au sein du processus aussi, ce sont des grands signaux.
Les plans d’action national, aussi bien les premiers que les seconds, sont chaque fois lancés au plus haut niveau par le ministre, signe que le gouvernement est très engagé.
Nous voulons vraiment que des mesures très rapides soient prises pour que qui participe en tout cas à créer les conditions pour que notre note d’ici décembre s’améliore.
Cela passerait par exemple par l’adoption rapide de la loi d’accès à l’information. Je suis content du dernier papier que j’ai vu venant du ministère en charge de l’adoption de cette loi figure en tête d’affiche des réformes législatives que le ministère va très rapidement avoir à aboutir ajoute Alfred.
C’est aussi aller très rapidement vers une réforme législative de l’organe qui est en charge de la lutte contre la corruption.
Cela figure aussi en bonne ligne, nous nous félicitons de tout ça et nous souhaitons en tout cas que d’ici octobre, décembre, moi je souhaite d’ici octobre puisque le sommet mondial du PGO intervient très bientôt.
