« Force est de reconnaître qu’aucun changement, aucune rupture n’est possible dans un environnement de corruption endémique », a-t-il affirmé, en appelant les Sénégalais à une prise de conscience collective. « Si nous voulons le changement, nous devrons résolument être prêts à nous réformer nous-mêmes, dans nos comportements face au bien public, et dans notre manière de servir la collectivité. »
Des réformes qui s’inscrivent dans une volonté affirmée de transformer durablement les pratiques institutionnelles et de bâtir une gouvernance éthique au service de tous.